Le parcours de Cabral Libii est des plus connu. Journaliste, rédacteur en chef, éditorialiste, Cabral Libii est aussi juriste et activiste. Ce qui présageait déjà un atterrissage en politique. Quand celui qui a vu le jour le 29 mars 1980 à Ekoamaen dans le Centre du Cameroun annonce sa candidature à la présidentielle de 2018, peu sont surpris.
Avec son investiture par le Parti Univers du Professeur Nkou Mvondo, Cabral Libii est alors le plus jeune candidat à prétendre à la magistrature suprême. Il a alors 38 ans. Sa prestation est hautement remarquable, pour une première participation, car il est proclamé 3ème sur les 7 candidats en lice. Le politicien au verbe acéré prends une nouvelle formation politique baptisée le Parti Camerounais pour la Réconciliation nationale (Pcrn) où il est président national jusqu’à ce jour. L’auteur du ‘‘Fédéralisme Communautaire’’ est appelé à légiférer aux côtés des parlementaires, à l’issue de son élection comme député dans le Nyong et Kellé lors du double scrutin municipal et législatif au Cameroun le 9 février 2020 le digne fils Nsa’a fait la joie de son peuple, mais de toute Afrique désormais.F
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Président National du Pcrn arrive à s’imposer auprès de ses pairs parlementaires et est élu au bureau de l’Assemblée nationale en mars 2020. Son parti engrange 7 communes et des sièges en partage dans d’autres communes pour un total de 210 conseillers municipaux. L’homme politique africain de l’année 2019 selon Gifa d’Or de Paris, est un enfant de la grotte il est déjà 3 fois dans le top 15 des bassa de l’année en 2021, 2022 et en 2023 Cabral Libii est bien porté par les siens ( Camerounais en général) et d’après un sondage de notre rédaction dans les réseaux sociaux ces derniers jours, il est homme politique plus aimé à travers ses sorties qu’il présentent avec certaines vraisemblances au peuple Camerounais.
La rédaction du journal le Grand Bassa accord tout son soutien à ce digne fils Nsa’a qui fait l’honneur du Cameroun tout entier. Il sera très bientôt l’invité de notre rédaction.
Par Simon Dupong
